Ousmane Gaoual Diallo à l’épreuve des clivages politiques aux préjugés inutiles.
25 février 2022
Chacune de ses prises de parole fait vibrer les cœurs. Certains éclatent de joie, ils sont de ceux qui fondent en lui un immense espoir grâce à sa persévérance en politique et son combat de tous les jours pour contribuer à hisser la Guinée au sommet.
D’autres qui s’empressent de l’écouter chaque fois qu’il est appelé à justifier telle ou telle décision de l’État, sont d’éternels incrédules. Difficile d’espérer que ces derniers lui reconnaissent la valeur de ses propos, le soupçonnant sans fin et sans retenue de ne privilégier que sa position dans le gouvernement.
Ousmane Gaoual Diallo pour ceux qui le connaissent de plus prêt et profondément, a toujours été ce politicien à l’écoute de tous. Il sait apprendre des uns et des autres sans se laisser détourner de la réalité. Il est l’homme de la synthèse dont le souci permanent est la recherche de l’équilibre avec une dose d’hostilité sans gravité. Chez lui le choc des idées prime et chaque avis compte pourvu qu’il colle à la réalité. C’est pourquoi face à lui, inutile de gaspiller ses salives quand on ne se plait qu’à porter la parole sans pour autant convaincre.
Ousmane Gaoual Diallo Diallo n’a jamais été un abonné des causes perdues, il parle sans hésitation pour présenter les réformes qui manquaient tant à la Guinée dont le processus de développement a fait les frais de la boulimie des hommes. Malheureusement chaque apparition de celui qui semble faire désormais la part belle des médias et de toutes les interactions dans la cité est devenue un sujet de débat à la place même du sujet à débattre.
S’il est bon de critiquer le politique, fût-il un membre du gouvernement, sa feuille de route et toute idée qu’il porte au nom de ses pairs, le devoir nous impose également de saluer les progrès de chaque époque même si cela arrange certains quand ça dérange d’autres.
Conscient du rôle et de la place qui sont les siens dans la reconstruction nationale Ousmane Gaoual Diallo reste ouvert aux critiques. Chaque fois quil lui sera donné de prendre la parole, il aura à défendre ses concitoyens et la RÉPUBLIQUE.