L’ONG père des orphelins sollicite auprès du gouvernement pour la construction d’un centre d’orphélinat

Les membres de L’ONG Père des orphelins avec pour thème présentation des activités, des acquis et perspectives ont conferé avec la presse ce Mercredi à la maison de presse

Abdoul Karime Diallo fondateur et  Président pére des orphelins a rappelé la naissance de l’ONG.

C’est en 2014 chez moi à Samatra où j’ai regroupé plusieurs orphelins dont j’ai payé à mes frais.  Le prophète (Mouhamad Paix et Salut  Sur Lui)a comparé celui qui aide les orphelins à celui qui prit toutes les nuits. J’avais un voisin qui avait une dizaine d’enfants et après le décès du père , la famille n’avait même pas de quoi manger. 200 élèves 50 scolarisé 50 non scolarisé et 100 orphelins.  j’ai pensé à fondé une ONG qui s’occupe des orphelins. Nous étions au nombre de 12 et aujourd’hui  on a plus de 500 adhérant à travers le monde.  Ils ont besoin d’être protégés par des mariages forcés.  2019 que nous avions créé L’ONG  pour  promouvoir le droit des enfants accompagner les politiques publiques .Nous prenons en charge  18 famille près de 100 enfants orphelins répartis à Conakry et à l’intérieur du pays.  Nous avons la volonté de  construire un grand centre d’accueil de ces enfants  pour un bon encadrement des orphelins . Nous demandons une main forte de l’état et aux personnes de bonne volonté pour un accompagnement financier et matériels dans le cadre de la réalisation de notre projet a sollicité Abdoul Karim car ajoute-il  tout orphelin à besoin d’un soutien . Nous comptons sur l’accompagnement du gouvernement.  On a trois centre à nos jours précisément  à Africof,  Taouyah et Samatra.

l’opregem l’organe de répression de viol a participé à cette conférence de presse . Bernadette Haba commissariat centre de Nongo a remercié les membres de l’association et a promis l’accompagnement de l’opregem

Hadja Djeinabou Sow mère des orphelins membre de l’association et elle-même  orpheline a retracé sa vie.

Elle a sollicité auprès du gouvernement la construction d’un centre d’accueil .

Yayé Barry